Bout de chiffon...
« Je sais pas ce que je ressens pour lui, j’en sais rien du tout. Tout ce que je sais, c’est que j’aime son sourire qui s’étire un peu moqueur, les regards complices qu’on se lance parfois. J’aime bien savoir qu’il est en sécurité, qu’il va bien, qu’il peut tout réussir. J’ai juste besoin de nos mains qui se frôlent de temps, de ses bras autour de mes épaules. Quand je suis avec lui, je ne pense plus au fait qu’il ne m’aime pas autant qu’elle, que je ne suis pas comme elle, son oxygène et ses espoirs. J’ai juste envie de sourire comme une idiote, et je me sens bien. »
« Je sais pas ce que je ressens pour lui, j’en sais rien du tout. Tout ce que je sais, c’est que j’aime son sourire qui s’étire un peu moqueur, les regards complices qu’on se lance parfois. J’aime bien savoir qu’il est en sécurité, qu’il va bien, qu’il peut tout réussir. J’ai juste besoin de nos mains qui se frôlent de temps, de ses bras autour de mes épaules. Quand je suis avec lui, je ne pense plus au fait qu’il ne m’aime pas autant qu’elle, que je ne suis pas comme elle, son oxygène et ses espoirs. J’ai juste envie de sourire comme une idiote, et je me sens bien. »
« Je sais pas ce que je ressens pour lui, j’en sais rien du tout. Tout ce que je sais, c’est que j’aime son sourire qui s’étire un peu moqueur, les regards complices qu’on se lance parfois. J’aime bien savoir qu’il est en sécurité, qu’il va bien, qu’il peut tout réussir. J’ai juste besoin de nos mains qui se frôlent de temps, de ses bras autour de mes épaules. Quand je suis avec lui, je ne pense plus au fait qu’il ne m’aime pas autant qu’elle, que je ne suis pas comme elle, son oxygène et ses espoirs. J’ai juste envie de sourire comme une idiote, et je me sens bien. »